Airborne operations

Bombings/ air raid

Before amphibian operations, Allies planned bombing operations. The aim was to attack German fortifications of the Atlantic Wall located near the Allied landing zones.

At daybreak on June 6th 1944, 340 heavy bombers and 269 light bombers accomplished their missions and destroyed 74 radar stations between Barfleur and Le Havre. The aim of this operation was to prevent any detections of the fleet.

The surroundings of beaches (Omaha beach, Utah Beach, Juno Beach, Sword Beach and Gold Beach) where landings had to take place was bombarded.

However, bad weather disturbed the bombing of Omaha Beach sector; therefore, the German fortifications were not much touched.

The American air drops

82nd and the 101st American Airborne divisions were parachuted in the western part of the zone of invasion with objectives to take the control of bridges and villages situated in this area (such as Sainte-Mère-Eglise) and control the roads which ensure connections between the Beaches and the inland.

Airborne operations didn’t occur as it was planned. Indeed a lot of Americans paratroopers were dropped far away from the zone they were supposed to land because of bad weather and the lack of experience of some pilots. Some of the paratroopers even died by drowning in the surrounding marshes.

However, soldiers who had survived landed at Sainte-Mère-l’Eglise and became true targets for German soldiers established in the village.

The American parachutist John Steel remained suspended at the church tower. After hours of violent fights, the village is released at 4am.

Americans soldiers also succeeded in taking the control of 4 roads which gave access to the landing zones.

British air drops

The 6th British Airborne division had to secure the eastern part of the Invasion zone. To do so, principal missions of British paratroopers were: to destroy several bridges (5 on the eastern banks of the Orne, a bridge at Bénouville (famous Pegasus Bridge) and another at Ranville. They also had to take the control of the Battery of Merville located near the landing beach of “Sword”.

The bridge of Bénouville, also known as “Pegasus Bridge” (its code name) was hold by surprise because German soldiers didn’t expect an invasion of Allied forces, even less by the air. The exploit of the first gliders in the world allowed an important progress and the first release of a French village: Ranville. The British warned the Allies of their success thanks to a Bengal light on the church tower.

The assault of the battery of Merville was particularly murderous but British soldiers temporary took the control of this place. This victory allowed securing landings of Allied forces in the area of Sword Beach.

Aims of these air operations was to prevent any forms of communication between the Allied forces, to isolate and to secure the landing zone in order to slow down the arrival of German reinforcement. Half of parachutists who took part in these operations were killed. Despite disorder caused by some mistakes, the airborne operations were a success.

Les bombardements

Avant de lancer des opérations amphibies, des phases de bombardement ont été prévus par les alliés. L’objectif est de bombarder les fortifications allemandes du mur de l’Atlantique situées à proximité des zones de débarquements alliés.

A l’aube du 6 juin 1944, 360 bombardiers lourds et 269 bombardiers légers s’exécutent et détruisent 74 stations radars entre Barfleur et le Havre.

L’ensemble des secteurs de plages (Omaha Beach, Utah Beach, Juno Beach, Sword Beach et Gold Beach) où doit avoir lieu les différents débarquements sont bombardés.

Cependant, le mauvais temps handicape les bombardements dans le secteur d’Omaha Beach. De ce fait, les fortifications allemandes situées dans ce secteur sont très peu touchées.

Les parachutages américains

Les 82ème et 101ème divisions aéroportées américaines ont été parachutées à l’ouest de la zone d’invasion avec pour objectif de prendre le contrôle des ponts et localités situées dans cette zone (notamment Sainte-Mère-Eglise), et également de contrôler les voies d’accès reliant les plages à l’intérieur des terres.

Les opérations de parachutages ne se sont pas déroulées comme prévu puisque de nombreux paras américains ont été parachutés très loin de la zone où ils devaient normalement atterrir. Certains ont même péri noyés dans les marécages environnants.

Cependant quelques survivants ont tout de même atterri à Sainte-Mère-Eglise, devenant de véritables cibles pour les Allemands présents dans la ville.

Le parachutiste américain John Steel restera même accroché pendant 2 heures au clocher de l’église avant d’être fait prisonnier par les soldats allemands. Après des heures de violents combats, la ville sera libérée aux alentours de 4 heures du matin.

Les soldats américains auront également réussi à prendre le contrôle de quatre voies d’accès.

Les parachutages Britanniques

La 6ème division aéroportée Britannique est chargée de sécuriser la zone Est de l’invasion. Pour cela, les missions principales des parachutistes britanniques sont : détruire plusieurs ponts (5 situés sur la rive Est de l’Orne, un pont à Bénouville – le célèbre Pegasus Bridge – et un autre à Ranville). Ils doivent également prendre le contrôle de la batterie de Merville située à proximité de la plage de débarquement « Sword ».

Le pont de Benouville connu sous le nom de code de « Pegasus Bridge » sera pris par surprise car les forces allemandes présentes n’attendaient pas une invasion des forces alliées, et encore moins par les airs. Les prouesses des premiers planeurs au monde ont permis une avancée importante et la première libération d’un village français : Ranville.

L’assaut de la batterie de Merville a été particulièrement meurtrier, cependant les Britanniques ont pris temporairement le contrôle de celle-ci. Ce qui a permis de sécuriser le débarquement des forces alliées sur le secteur de plage de Sword.

L’objectif de ces opérations aériennes était d’empêcher toutes formes de communication entre les forces allemandes, en isolant les sites de débarquement, en sécurisant chaque zone de plage afin de ralentir l’arrivée de renforts allemands. La moitié des parachutistes mobilisés par ces opérations (18 000) seront tués.